Avez-vous un état d’esprit de consommateur·trice ou de créateur·trice ? Dans cet épisode, je vous explique la différence, et les conséquences de l’un ou l’autre de ces états d’esprit sur nos relations : couple, famille, travail… Et si vous voulez cultiver un état d’esprit de créateur·trice pour vous confectionner la vie sur mesure qui vous correspond, je vous donne des pistes pour le faire !
Notes de l’épisode
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Grisaud
bonjour Clotilde, oui cet épisode me parle bien. Dans ma vie je me suis beaucoup conduite en consommatrice passive. Donc si ce qu’on me proposait ne me convenait pas, je compensais la frustration par encore plus de consommation, logique…c’est parce que je me sentais impuissante a changer la situation. Mais finalement, la cause était cette attitude de consommatrice ,qui en soit, n’a rien de mal, sauf si c’est pour éviter de ressentir toute frustration. C’est vrai que la frustration, reconnue et acceptée, peut être un moteur pour tacher de changer quelque chose. Comme vous dites, on est toujours plus gagnant en agissant qu’en subissant, car au moins, ça nous fait des muscles sur le plan psychologique. Je me rappelle ce film des frères Dardenne ou une jeune femme se bat pour ne pas être licenciée. A la fin elle renonce d’elle même , mais elle y a gagne une dignité. Cette histoire m’a beaucoup frappée.
Grisaud
Un bémol : je ne pense pas qu’soit responsable a 100% de son expérience de vie, surtout dans la relation. Comme le dit Jacques Salomé, on n’est responsable que de sa partie, donc a 50%. Je pense aussi au fameux " love it ou leave it", parfois, on ne peut qu’abandonner. Je suis libre dans le cadre de la réalité ( le réel est ce qui nous résiste). Mais vous faites bien la différence entre les deux états d’esprit, le consommateur pense " j’y ai droit, de par mon statut, ou parce que je paie", ce qui, en cas d’insatisfaction de son besoin, mène a des sentiments négatifs. Le créateur, dans la même situation, se demande " qu’est ce que je peux faire pour changer les choses", et ça le porte a utiliser ses ressources, a se mettre en mouvement, donc a devenir plus fort face a la frustration. Enfin, je citerai encore la fameuse phrase de Kennedy :" ne vous demandez pas ce que votre pays peut faire pour vous, demandez vous ce que vous pouvez faire pour votre pays". La vie est une auberge espagnole, on y trouve ce qu’on y amène, ça donne de l’espoir, puisque beaucoup dépend de nous.